Liberez le potentiel de votre communication orale en cultivant la confiance en soi

Dans cet article, découvrez comment la confiance en soi permet aux leaders de créer des liens profonds, d’engager efficacement leur auditoire et transmettre des messages percutants.  Nous explorons des techniques telles que la préparation centrée sur l’auditoire, (Méthode FAQ) la résonance émotionnelle grâce à la méthode SCREEN VOICE® et le basculement du « prouver » ver le « faciliter » (Leadership par Empathie).  Apprenez comment une communication confiante et empathique peut renforcer votre influence et laisser une empreinte durable.  

Cet article étant initialement rédigé en anglais, j’utilise fréquemment deux mots : TRUST et CONFIDENCE.  Cependant, une distinction importante s’impose, car en français, un seul mot couvre à la fois TRUST et CONFIDENCE :  « CONFIANCE ».  Pourtant, TRUST et CONFIDENCE diffèrent par leur nature et leur application.   

Trust

La confiance envers autrui est interpersonnelle, fondée sur la croyance en la fiabilité, l’intégrité et les intentions de quelqu’un d’autre.  C’est la foi en la crédibilité d’autrui.  Elle se développe au fil du temps, grâce à des comportements constants et des expériences partagées.  Par exemple, la confiance en un collègue repose sur sa fiabilité et son honnêteté.   

Condifence

La confiance en soi est centrée sur soi, reflétant une croyance en ses propres capacités.  Elle découle de l’auto-évaluation, de la pratique ou de réussites passées. Elle reflète la foi en une compétence personnelle.  Par exemple, la confiance dans la réalisation d’une tâche découle de succès similaires réalisés auparavant.   

TRUST se développe par des interactions constantes, tandis que CONFIDENCE grandit grâce à l’expérience personnelle et aux réussites.  Et la SELF-CONFIDENCE (CONFIANCE EN SOI) influence directement la TRUST (CONFIANCE) que les autres peuvent avoir en vous.   

Booster la confiance : La clé de voûte d’une communication orale efficace et du LEADERSHIP

Pendant plus de 30 ans nous, APT Presentations, avons accompagné des dirigeants de PME/PMI et de grandes sociétés internationales à développer leur communication orale et présentations commerciales à travers le monde. 

En coachant des milliers de personnes, nous avons identifié un dénominateur commun qui revient systématiquement dans les défis de communication : un élément fondamental essentiel à résoudre pour libérer leur potentiel. 

Cet élément est la CONFIANCE, une qualité fondamentale qui influence profondément non seulement les capacités oratoires d’une personne (SELF CONFIDENCE – la confiance en soi), mais aussi sa perception de soi et sa crédibilité en tant que leader (TRUST – la confiance inspirée aux autres). 

La confiance en soi, est la clé de voûte de toute communication orale percutante.  Chaque décision prise par un leader en dépend, et chaque tentative d’influencer les autres repose sur elle.  Lorsque le doute fait son apparition, il mine même le message le mieux préparé ; il affaiblit la capacité de l’orateur à convaincre et réduit les chances d’une interaction réussie.  

L’absence de confiance en soi peut déstabiliser leaders, présentateurs et influenceurs, se manifestant de manière évidente dans leur voix, ton et posture.  Une communication orale efficace va bien au-delà de la lecture de diapositives ou de la récitation d’un discours préparé, elle exige une authenticité et une confiance qui résonnent avec l’auditoire. 

Sans confiance en soi même les communicants les plus compétents peinent à capter l’attention et à inspirer l’auditoire. 

Lorsque la confiance vacille, même les orateurs les plus expérimentés peuvent avoir du mal à établir une connexion avec leur auditoire et les inciter à agir.  Le public, les collègues et les parties prenantes peuvent rapidement détecter l’absence de confiance, ce qui entraîne une perte d’intérêt immédiate. 

Pour résoudre ce problème persistant, je propose une approche basée sur ce qui est pour moi un remède particulièrement efficace : travailler sur ses compétences en communication orale et prise de parole en public.  A travers des efforts continus pour améliorer ces compétences en communication orale, je suis convaincu que la confiance en soi peut être cultivée et développée comme une compétence tangible et apprenable.  Ce faisant, chacun peut commencer à reprendre le pouvoir sur sa communication.  En maîtrisant l’art de la communication orale, que ce soit devant quelques personnes ou un large auditoire, les leaders peuvent influencer, se démarquer et être inoubliables.  Prendre la parole en public constitue souvent le moment où la confiance en soi a pu être ébranlée, que ce soit durant l’enfance ou la jeunesse. 

Exprimer une opinion devant ses pairs peut susciter la peur du jugement, du ridicule ou de la critique, ce qui peut nuire durablement à la confiance en soi.  Il est essentiel de traiter et d’inverser ces effets pour développer des managers, ingénieurs et commerciaux en confiance, capables d’influencer les autres tout en contribuant de manière significative à leur organisation. 

Alors, pourquoi si peu de personnes se sentent véritablement confiantes lorsqu’elles présentent leurs idées, innovations, produits ou services ?  Surtout, pourquoi est-il si difficile de retrouver cette confiance une fois perdue, et que pouvons-nous faire pour y remédier ? 

Voici 4 pistes de succès pour inverser la tendance et commencer à booster la confiance en soi : 

Connaissance et communication : Comprenez pourquoi ce n’est plus l’école !

Pour beaucoup, les racines de l’anxiété liée à la prise de parole remontent à l’école.  C’est là que les élèves vivent généralement la prise de parole en public dans un cadre structuré et évaluatif.  Ils présentent du contenu « sorti de leur tête », dans le but de prouver leur savoir.  Le jugement se manifeste sous la forme de notes et d’évaluations des enseignants, renforçant souvent l’idée que l’objectif principal de la prise de parole est de démontrer sa justesse. 

Les auditoires dans un cadre professionnel ne sont pas les mêmes que dans un cadre scolaire.  Leurs objectifs sont fondamentalement différents : les professionnels recherchent des connaissances auprès d’un orateur qui les aidera à résoudre des problèmes, tandis que dans un cadre scolaire, les jurys ou enseignants cherchent à valider si les connaissances transmises sont correctes ou incorrectes. 

La première étape consiste à amener les professionnels à reconnaître cette différence fondamentale et à abandonner leur ancien rôle de « prouver » leur savoir, pour adopter celui de démontrer en quoi ce savoir est utile à leur auditoire. 

Le défi consiste alors à guider les professionnels ayant une approche scolaire, axée sur la recherche d’approbation, vers un style de communication authentique et centré sur l’auditoire.  Ce changement est difficile, car il nécessite non seulement une prise de conscience, mais aussi le rétablissement de la confiance en soi.  La confiance en soi permet aux intervenants de se libérer du « syndrome scolaire », transformant ainsi la prise de parole en public d’un simple exercice de démonstration de savoir à un véritable processus de connexion humaine, et de savourer les émotions partagées par tous.  Cette transformation favorise un engagement efficace, une influence authentique et un profond sentiment de satisfaction intellectuelle et émotionnelle, tant pour l’orateur que pour l’auditoire. 

Cependant, à première vue, beaucoup peuvent avoir l’impression qu’en utilisant leurs émotions, ils sont en train de jouer un rôle ou de « faire semblant ». Cela peut leur sembler être un acteur, ce qui les amène à se sentir ridicules, voire à avoir l’impression de faire semblant, d’être quelqu’un d’autre.  La Dr Amy Cuddy, dans ses recherches sur le « Power Posing »(posture de pouvoir) et sa célèbre conférence TED « How Your Body Language Shapes Who You Are » (Comment votre langage corporel façonne qui vous êtes), donne des conseils simples sur l’adoption de postures dominantes et de pouvoir avant une situation stressante.  Cela permet au corps de sécréter plus de testostérone (l’hormone du pouvoir) et moins de cortisol (l’hormone du stress).  Elle a popularisé le concept de « fake it until you make it » : « Faites semblant jusqu’à ce que vous le deveniez ! » 

Je propose d’adopter ce concept de « fais semblant jusqu’à ce que tu le deviennes » en abordant également les émotions que nous utilisons quotidiennement, et en les appliquant au monde professionnel.  Ces émotions sont basées sur l’approche des styles de personnalité et ce sont ce que Bob Larcher et moi avons baptisé le « SCREEN VOICE®« . 

RECONNECTEZ-vous à vos émotions et parlez avec votre CŒUR, pas avec votre CERVEAU !

En se limitant au contenu logique (et à l’inévitable manque qui peut en découler), les étudiants passent à côté de l’opportunité de créer une connexion émotionnelle avec leur auditoire.  En s’exprimant « avec le cœur » et en partageant d’abord une perspective authentique et empathique, les orateurs ouvrent une voie plus forte vers l’intellect, établissant un lien à la fois intellectuel et émotionnel.  Et les émotions sont la clé de la mémoire. 

Jetons un coup d’œil sur la méthodologie « SCREEN VOICE® » 

Pendant la pandémie de COVID, Bob Larcher et moi avons travaillé sur l’évolution de la communication orale, qui semble s’être dégradée avec les réunions virtuelles.  C’est ainsi que nous avons développé le concept SCREEN VOICE® pour améliorer les interactions d’écran à écran. 

Durant cette période, la généralisation des réunions virtuelles a transformé les normes de communication orale, rendant indispensable une approche plus concise et émotionnellement engageante.  Dans le contexte virtuel où le langage corporel est limité, voire absent, la voix occupe un rôle central pour transmettre le sens et créer une connexion.  Sur de petits écrans vidéo, les indices traditionnels comme les gestes et les expressions faciales sont limitées, ce qui rend des éléments non verbaux tels que le ton, le rythme de la voix, ou le paralangage essentiels pour une communication percutante. 

De plus, dans de nombreuses réunions virtuelles, les participants ne font qu’ÉCOUTER, sans activer la vidéo.  Beaucoup de ces réunions ressemblent à des podcasts de mauvaise qualité, souvent accompagnés de diapositives illisibles.  Et, elles sont ENNUYEUSES… 

Avant la pandémie, le langage corporel représentait jusqu’à 55 % de l’impact de la communication en face-à-face, soutenu par la dynamique vocale (38 %) et le contenu (7 %).   Dans les interactions écran à écran, le paralangage prend le dessus, représentant parfois 50 % ou plus de l’impact de la communication, à mesure que les indices visuels disparaissent.  Même si les travaux bien connus d’Albert Mehrabian peuvent être mal interprétés et les chiffres sujets à débat, il est évident que l’impact du langage corporel présent en face-à-face n’existe plus dans les interactions d’écran à écran. Les orateurs doivent donc exploiter la « SCREEN VOICE® » : l’utilisation intentionnelle des éléments vocaux tels que le volume, la hauteur, la vitesse et le rythme pour compenser la réduction du langage corporel et créer une résonance émotionnelle avec leur auditoire. 

« SCREEN VOICE® » ne s’applique pas uniquement à la communication virtuelle, mais concerne également toutes les formes de communication orale aujourd’hui, qu’il s’agisse de présentations, de réunions, de négociations ou d’entretiens.  Cela repose sur l’utilisation stratégique des leviers émotionnels pour garantir que les messages soient inoubliables et perçus positivement. 

En mettant l’accent sur la confiance (TRUST), l’empathie et la clarté, les orateurs peuvent captiver leurs auditoires et renforcer la mémorisation.  À l’inverse, un ton détaché ou monotone peut nuire à la rétention du message et ternir la réputation de l’orateur.  Une communication sensible est essentielle lors des présentations virtuelles, où la création d’une véritable connexion repose en grande partie sur les variations vocales. 

 

La méthode « SCREEN VOICE® » utilise différentes « couleurs » vocales pour exprimer une intention et captiver l’auditoire. 

Jaune (Voix Inclusive) :

Transmet chaleur et inclusivité grâce à un ton amical, idéal pour accueillir et instaurer une dynamique de groupe positive.  Elle peut être utilisée pour obtenir l’adhésion de l’auditoire à une idée. 

Vert (Voix Empathique) :

Montre compréhension et soutien, idéale pour développer l’empathie et démontrer une perspective partagée.  Souvent utilisée pour montrer que l’on comprend les «points sensibles» pour l’auditoire.

Bleu (Voix d’Autorité) :

Démontre expertise et clarté, adaptée à la présentation de faits ou d’arguments basés sur des preuves.  À utiliser pour énoncer des messages forts, sans ambiguïté possible. 

 

Rouge (Voix Urgente) :

Transmet un sentiment d’urgence et incite à l’action avec un ton direct et affirmé.  Essentielle pour toutes les problématiques de gestion du changement. 

 

 

Chaque couleur de voix correspond à des leviers émotionnels spécifiques, renforçant l’influence et l’adaptabilité de l’orateur.  Les orateurs efficaces savent adapter ces styles pour répondre aux besoins variés de leur auditoire, en allant au-delà d’une seule voix dominante et en changeant stratégiquement de ton pour souligner les messages clés et favoriser l’engagement émotionnel. 

 

La méthode « SCREEN VOICE® » est essentielle dans le paysage actuel de la communication orale.  En comprenant et maîtrisant les variations vocales, les orateurs peuvent transmettre efficacement des émotions, instaurer la confiance (TRUST) et inciter à l’action, garantissant ainsi que leurs messages soient inoubliables et percutants dans tout contexte d’échange et particulièrement à distance. 

Pour lire nos articles complets en anglais, veuillez consulter « Identifying, Developing and Mastering Screen Voice » et « Upskilling to meet the new web-presentations norm » sur https://www.aptpresentations.com/category/article/, et visionner notre webinaire en anglais sur les présentations à distance et la Voix du Leadership sur https://www.aptpresentations.com/presentations-and-leadership-webinar/. 

Le Basculement de « Prouver » à « Faciliter »

Comme indiqué précédemment, l’un des changements le plus important dans le parcours d’un orateur consiste à passer de l’état d’esprit d’un étudiant – quelqu’un qui doit constamment prouver ses connaissances – à celui d’un facilitateur, dont le rôle est de partager des idées qui aident l’auditoire.  Ce changement libère l’orateur des contraintes du doute de soi et lui permet d’endosser le rôle d’un leader empathique capable d’inspirer, de guider et de proposer des solutions précieuses. 

Cependant, au cœur de l’anxiété de l’étudiant réside la décision fondamentale sur le contenu à communiquer.  Le doute peut facilement provenir de la croyance que l’auditoire (les enseignants) en connait plus sur le sujet que l’orateur, car, après tout, le jugement académique repose sur l’évaluation du « juste ou faux »ou du « correct ou incorrect ». Pourtant, un auditoire professionnel ne juge pas nécessairement de cette manière.   Il accorde son précieux temps à l’orateur pour savoir s’il pourra concrètement utiliser les informations dans son propre contexte professionnel. 

En réalité, l’auditoire cherche avant tout à savoir comment cette information pourra l’AIDER. 

Si l’auditoire connait déjà l’information, un autre type de jugement s’opère, car il n’a pas besoin d’écouter pour comprendre quelque chose qu’il sait déjà.  Face à cela, il n’y a que deux alternatives :  

  1. Soit l’auditoire ne perturbe pas et fait autre chose (par exemple, utiliser le smartphone, l’ordinateur portable ou d’autres distractions qui lui évite de perdre du temps précieux),  
  2. Soit, il défie l’orateur, et dans ce cas, il s’agit d’un scénario gagnant-perdant qui ne devrait jamais se produire.  Dans les deux situations, les membres de l’auditoire ressentent une impression négative de l’orateur, car ce dernier n’a pas rempli son rôle d’aider à comprendre les bénéfices de l’information. 

Pour éviter de se retrouver dans cette situation, il faut être prêt à sélectionner un contenu que l’auditoire ne connaît pas, mais qu’il doit impérativement connaître.  Lorsque l’auditoire comprend que l’orateur délivre un contenu essentiel (NEED to KNOW), il sera toujours plus attentif. 

Mettre en œuvre un Leadership par Empathie et la Méthode FAQ : Comment être un facilitateur lors de prises de parole en se préparant autrement !

Il est bien connu que l’analyse de l’auditoire est la première étape de la préparation.  Cependant, presque toutes les personnes que nous avons coaché par le passé n’ont jamais véritablement examiné la segmentation de l’auditoire et les besoins en informations spécifiques de chacun des membres.  Lorsque j’ai débuté ma carrière de coach, je pensais que « l’analyse de l’audience » était une tâche difficile et floue, sans véritable méthode. J’ai donc développé ma propre approche, que j’appelle « le Leadership par Empathie et la Méthode FAQ ». 

Il s’agit essentiellement de se mettre dans la peau de l’auditoire visé et de rédiger les questions que vous pensez qu’il pourrait avoir « avant », « pendant » et « après » votre présentation.   

Les questions « avant » la présentation portent sur les attentes en voyant simplement le titre de votre intervention et les connaissances qu’il possèdent déjà sur le sujet.   

Les questions « pendant » la présentation concernent les interruptions qu’il pourrait avoir à chaque diapositive ou les concepts pouvant amener une question.   

Les questions « après » la présentation sont les plus délicates, celles que vous sentez que l’auditoire pourrait poser même si vous ne les abordez pas dans votre communication. 

En regroupant cette nouvelle base de données de questions fréquemment posées (FAQ) en 3 à 5 chapitres, vous obtenez un plan basé sur ce que l’auditoire doit nécessairement savoir (NEED to KNOW).  C’est le début de l’approche empathique pour aider l’auditoire à résoudre ses problèmes grâce à votre connaissance (la raison pour laquelle il vous écoute).  Il s’agit d’une approche PULL plutôt que PUSH, et l’orateur devient alors un facilitateur de l’information. 

En comprenant ce nouveau rôle de facilitateur d’informations utiles, l’orateur peut libérer la confiance en soi (SELF CONFIDENCE) qui aurait pu être bloquée par la peur.  Il peut désormais aborder chaque interaction, qu’il s’agisse d’une présentation professionnelle, d’un discours formel, d’une table ronde ou même d’une réunion d’équipe, avec un sens du but et de l’autorité.  La capacité à communiquer clairement tout en restant concentré sur les besoins de l’auditoire (répondre à leurs FAQ) crée des perceptions durables et génère des résultats de confiance (TRUST). 

Une communication orale efficace ne se limite pas à transmettre des faits ou des informations ; il s’agit de créer une connexion, de résoudre des problèmes et de créer de la valeur.  Ce type de communication repose sur des relations plus solides, une plus grande satisfaction des employés et un meilleur engagement.  Les orateurs confiants excellent non seulement dans la présentation de leurs idées, mais ils inspirent également leurs équipes, améliorent la productivité et influencent positivement la culture d’entreprise. 

Cette nouvelle confiance et la clarté dans les messages s’appliquent de manière universelle dans divers contextes de communication : discours formels, présentations professionnelles, vidéos enregistrées, conférences, tables rondes, entretiens, ou simplement dans la gestion plus efficace des équipes.  A mesure que les professionnels gagnent en confiance en soi (SELF CONFIDENCE) dans leur compétence en communication orale, ils transforment non seulement leur capacité à diriger, mais aussi leur trajectoire de carrière globale en construisant la confiance (TRUST) qui est la base du leadership. 

Le pouvoir de mutation vers la communication confiante : une compétence universelle pour toutes les situations.

Avec plus de 30 ans d’expérience dans le conseil et le coaching en présentation, l’équipe APT Presentations a vu d’innombrables professionnels transformer leur carrière grâce à une communication orale confiante.  Selon leurs propres mots, « La confiance en soi n’est pas seulement une qualité souhaitable, c’est la base du succès ». 

Aujourd’hui, de nombreuses personnes doivent s’exprimer dans une langue étrangère, mais il ne s’agit pas seulement de la langue – bien sûr, il faut savoir la parler – mais ce qui compte réellement est la capacité à organiser les idées. 

Il ne s’agit pas seulement d’apprendre à parler, mais de changer d’état d’esprit et de s’amuser tout au long du processus !  Lorsque les professionnels prennent plaisir à développer leurs compétences en communication orale, ils deviennent plus engagés, adaptables et, finalement, plus performants. 

 

En résumé, la confiance en soi est un véritable catalyseur pour une communication orale efficace et une qualité fondamentale des leaders qui réussissent.  Se connecter avec l’auditoire en comprenant ses besoins en amont, et en délivrant un contenu qui répond de manière proactive à ses questions, constitue un véritable changement de donne pour tous (tout le monde – orateur et public à la fois).  Se connecter au cœur de chaque membre de l’auditoire avec des émotions authentiques permettra à ce dernier de se souvenir du contenu tout en devenant ambassadeur des messages. 

Le chemin vers une communication orale confiante n’est pas facile, car il nécessite une forte introspection et la pratique de se regarder en vidéo.  Cependant, les enseignements tirés sont incalculables, car elles libèrent les orateurs d’une approche centrée sur le savoir pour les amener vers une méthode d’assistance empathique et proactive pour aider les autres.  En investissant dans la connaissance de soi, en affinant l’art de délivrer des messages clairs et empathiques, en parlant avec le cœur plutôt que le cerveau, et en relevant le défi d’une communication centrée sur l’auditoire, les professionnels peuvent transformer leur approche de la communication orale et, finalement, leur efficacité en tant que leaders. 

A mesure que les personnes développent leur confiance en soi (SELF CONFIDENCE), elles améliorent leur capacité à engager, influencer et diriger avec impact, tout en créant la confiance (TRUST) de l’auditoire.